Unis ou Vaincus

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Identité

Contre la Mondialisation et la société de Consommation forcée qu'elle nous impose, tuant les Hommes et notre Mère à tous, la Terre..Pour la Défense de L'Europe, de son Identité, et de tous ses peuples Originels. Contre l'Europe Sociale Démocrate, complice des Marchands. Pour la création de L'Eurosibérie : une Europe politique, une puissance Continentale. Contre le Capitalisme spéculatif qui préfère les profits faciles à la Production qui donne du Travail. Pour un retour de la prépondérance du Pouvoir Politique, sur la Fonction de Production. Contre la Démocratie représentative, sa logique de partis (qui divise au lieu d'unir) et ses Alliés objectifs dans l'asservissement des Hommes : les Médias, les Marchands et les Mafias. Pour la Démocratie participative et Populaire, celle qui rend les Hommes maitres de leurs choix et donc de leurs déstins. Contre la Corruption financière et mentale qui utilise toutes les faiblesses des hommes pour les asservir et les pousser à consommer. Pour le retour des valeurs (vertus): celles qui contraignent chacun individuellement, mais qui rendent les Hommes Dignes et Libres. Contre l'Immigration de peuplement Extra Européenne, et le Métissage forcé. Pour une politique Nataliste en faveur des Européens de souche. Contre la vision Manichéenne (Bien/Mal) véhiculée par la Mondialisation et ses alliés de fait (Capitalisme / Communisme et les religions Monothéistes). Pour une Conscience Identitaire et la Liberté d'Expression : dans le respect des autres, mais en sachant quelles sont nos Forces, d'ou elles nous viennent (la Mémoire de nos Cultures Ancéstrales) et en ayant bien conscience qu'il faut les défendre pour les préserver.

samedi 20 janvier 2007

En Finlande, les syndicats font la chasse aux illégaux

En Finlande, les syndicats font la chasse aux illégaux
LE MONDE | 07.12.05 | 15h41 • Mis à jour le 07.12.05 | 15h41

Helsinki, Tallinn, envoyé spécial


Dix hommes sous les verrous, pour la plupart finlandais ; au moins 20 millions d'euros de commissions occultes ou de fausses factures impliquant des entreprises finlandaises et estoniennes ; des centaines d'ouvriers illégaux, en provenance des pays baltes et de Pologne, repérés sur des chantiers de la région d'Helsinki : c'est la plus grosse affaire de travail au noir de ces dernières années en Finlande.

Un "joli coup", réussi par l'équipe du commissaire Markku Ranta-Aho, patron d'un groupe créé il y a deux ans et qui compte dix-sept inspecteurs de la police criminelle spécialisés dans la lutte contre le travail illégal des étrangers. Ils peuvent compter sur des alliés aussi inattendus que discrets : une poignée de syndicalistes de la Fédération finlandaise des ouvriers du bâtiment, qui écument les chantiers et renseignent les policiers.

Cette coopération fondée sur la confiance n'est inscrite nulle part, elle est même ignorée du public finlandais. "Nous avons un très bon système d'information interne, qui fait que l'on est rapidement au courant quand il y a des travailleurs étrangers", explique Matti Harjuniemi, président du syndicat des ouvriers de la construction qui compte 80 000 adhérents, soit 72 % des salariés de cette branche. "Il y a un manque de main-d'oeuvre dans notre secteur, mais nous voulons que les ouvriers étrangers travaillent aux mêmes conditions que les Finlandais", précise-t-il.

Délégué du syndicat, Esko Auvinen travaille depuis cinq ans à surveiller les chantiers finlandais afin de traquer les compagnies qui exploitent indûment les ouvriers, notamment étrangers, ou les travailleurs illégaux. La plupart des étrangers viennent d'Estonie, séparée de trois heures de ferry. Sur les chantiers, Esko Auvinen pose discrètement ses questions. Normalement, il ne dit pas qu'il vient du syndicat. "Avec le va-et-vient des sous-traitants, je peux passer inaperçu." Il lui faut du temps pour mettre les ouvriers en confiance. Il parle russe et s'intéresse à leur type de contrat, à leurs horaires et au salaire, bien sûr. "Quand je constate une infraction, le syndicat ne peut pas intervenir. Mon rôle est de donner des informations à la police", raconte M. Auvinen. La limite qu'il s'impose est de préserver l'identité des ouvriers qui le renseignent. "Pour le reste, je n'ai pas de problème de conscience à collaborer avec la police car les policiers finlandais sont fiables et ont une base éthique très profonde."

PEUR DES MAFIAS

"Cette collaboration n'est pas officielle, admet M. Harjuniemi. Mais si vous voulez vraiment des résultats, il faut collaborer avec les autorités. On peut y voir un problème de principes pour un syndicat de gauche, mais les policiers nous aident à préserver notre Etat-providence". "La raison principale de cette coopération tient à la peur qu'il y avait, avant l'élargissement de l'UE, que les mafias estoniennes et russes n'envahissent le marché finlandais", explique Jari Hellsten, ancien juriste de SAK, la Confédération des syndicats finlandais. Quand il ne s'agit pas de fraude avérée, les syndicats tentent d'imposer les accords collectifs en faisant le blocus du chantier. Depuis deux ans, plus de 70 actions de ce type ont été menées, la plupart contre des compagnies estoniennes. "Mais si nous savons que la police enquête sur un chantier, nous n'en faisons pas le blocus pour les laisser travailler", précise M. Auvinen.

Des milliers d'ouvriers estoniens font le voyage de Finlande, recrutés par des agences de travail temporaires qui ont fleuri depuis deux ans à Tallinn. Il en existe entre 120 et 200 selon les sources. "Un certain nombre de ces sociétés sont gérées par des criminels finlandais qui après avoir été condamnés en Finlande n'ont plus le droit de monter une entreprise dans le pays, explique le commissaire Markku Ranta-Aho. Ils partent s'installer en Estonie et gèrent leurs affaires depuis là-bas." Les journaux estoniens publient tous les jours de petites annonces de recrutement pour des chantiers à l'étranger. "Beaucoup de ces compagnies estoniennes ne payent ni impôts ni charges, et elles retiennent 18 % du salaire de l'ouvrier comme une sorte de cotisation qui va dans leur poche. Parfois, elles font même payer un espèce de droit d'entrée de 5 000 couronnes (320 euros) pour être inscrit dans leur agence", note Harri Alhainen, officier de liaison de la police finlandaise à Tallinn.

En décembre 2002, la Confédération des syndicats finlandais a ouvert un centre d'information à Tallinn pour informer les Estoniens sur les conditions de salaire et d'emploi en Finlande. Mais Jarkko Tainio, directeur d'une agence de location de main-d'oeuvre à Tallinn, estime que "70 % des ouvriers estoniens en Finlande sont payés au noir". "Parfois, les entreprises payent sur le papier un salaire honnête, mais elles se font rétrocéder une part du salaire par l'ouvrier, jusqu'à 500 euros par mois, pour qu'il ait accès aux chantiers", raconte un Finlandais ancien intermédiaire de ce type d'affaires, aujourd'hui poursuivi par la justice. Pour lui, la peur de la mafia était un leurre. "Ce sont des entreprises normales qui se livrent à ces trafics."

Olivier Truc

vendredi 19 janvier 2007

"Téléphonie Mobile, sommes-nous tous des cobayes",

Un documentaire qui montre les effets des ondes générées par les portables et leurs antennes relais, à travers divers témoignage, à travers l’Europe notamment.

Le documentaire de 52′ de Joaquina Ferreira, avec la voix de Rufus, peut être téléchargé librement en DivX pour usage privé : pour le télécharger, cliquez ici :


http://www.next-up.org/film_0.php

A diffuser, car il montre quand même que nos gouvernants actuels ne sont motivés que par le profit.

Plus de RMIstes mais moins de chômeurs

Plus de RMIstes mais moins de chômeurs

Forte progression du nombre d'allocataires du RMI en 2005

Le chômage baisse, mais le nombre d'allocataires du RMI a progressé de 5,2% entre septembre 2004 et septembre 2005

Les RMIstes sont passés en un an de 1,182 million à 1,240 million, selon la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf).

Alors que le chômage diminue depuis sept mois, cette augmentation "semble s'expliquer par celle du nombre de chômeurs non indemnisés et par la réduction du taux de couverture de l'indemnisation chômage", précise la Cnaf.

"C'est le signe même de la nécessité de la mobilisation (...), sur le plan économique et le plan social, pour lutter contre des situations face auxquelles nous ne pouvons pas baisser les bras", a commenté vendredi le Premier ministre Dominique de Villepin, lors d'un déplacement à Montreuil (Seine-Saint-Denis).

Aujourd'hui, seulement 59,5% des chômeurs sont indemnisés par le régime d'assurance chômage, rappelle la Cnaf.

Rémi Jouan, secrétaire confédéral de la CFDT, s'était précisément inquiété fin novembre de "l'augmentation du nombre de Rmistes" parallèle à la baisse du chômage.

Pour la seule métropole, leur nombre a augmenté de 6,2%, avec désormais 1,0428 million d'allocataires.

Le ministre délégué aux Collectivités territoriales Brice Hortefeux a récemment défendu une "culture du résultat" en matière d'insertion des bénéficiaires du RMI, indiquant que les fonds alloués aux départements seraient désormais attribués en fonction du nombre d'allocataires mais aussi du taux de retour à l'emploi de ceux-ci.

"Le contrôle accru, le suivi social et professionnel des allocataires, les activités de débroussaillage ou d'accompagnement scolaire développées dans le Rhône doivent inspirer les autres départements", a-t-il indiqué.

Le nombre d'allocataires payés au titre du RMI et bénéficiant d'une mesure spécifique d'aide à l'emploi n'a augmenté que de 2,5% en un an, à 145.500.

Le projet de loi sur la réforme du RMI (et des autres minima sociaux), adopté mardi par l'Assemblée nationale a notamment créé une "Prime de retour à l'emploi" de 1.000 euros pour les bénéficiaires du RMI qui ont repris une activité professionnelle.

Créé en 1988, le RMI (425,40 euros pour un célibataire sans enfant et 893,34 euros pour un couple avec deux enfants) est versé par les Caisses d'allocations familiales (Cnaf). Il s'agit d'une prestation décentralisée à la charge des départements, avec compensation de l'Etat.


France2.fr

L'ANPE organise le tri des chômeurs

L’ANPE organise le tri des chômeurs

Sans-emplois . L’agence prépare pour janvier un suivi mensuel des chômeurs consistant à les sélectionner selon leur profil et à intensifier les contrôles.

Une petite révolution se prépare, en catimini, à l’ANPE. Conformément à l’annonce du premier ministre en juillet, l’Agence pour l’emploi mettra en place, à partir de janvier, un « suivi mensuel » des demandeurs d’emploi. L’objectif affiché était d’offrir un meilleur « accompagnement » aux chômeurs, en les recevant tous les mois contre six mois actuellement. Un document préparatoire de l’ANPE Île-de-France, que l’Humanité s’est procuré, montre que les intentions du gouvernement sont tout autres : désormais l’ANPE sélectionnera les chômeurs en fonction de leur « profil », s’occupera en priorité des plus facilement reclassables pour accélérer au maximum leur reprise d’emploi, et laissera les autres sur le bord de la route.

Datée du 9 novembre dernier, cette note interne sur le suivi mensuel stipule que « l’objectif général est l’accès ou le retour à l’emploi sans perte de temps » des chômeurs. « En articulation avec l’ASSEDIC, cette population est segmentée en fonction de ses risques de chômage de longue durée. » Lors du premier entretien, le conseiller doit faire un « diagnostic » sur le chômeur en fonction de son profil personnel (y compris la nationalité !) par rapport au marché du travail local, et l’orienter vers un des quatre « services différenciés ».

1. Parcours express

Le parcours 1 (15 % à 20 % des effectifs), intitulé « trouver un emploi en trois mois », est un « parcours express » pour les chômeurs fraîchement inscrits, travaillant dans des secteurs où il y a des offres. Il s’agit de les « prendre en charge immédiatement », pour « augmenter le volume des sorties dans les premiers mois ». Le conseiller les reçoit au moins tous les quinze jours et « intensifie les propositions d’emploi », mais ne leur propose aucune formation. Donc, pression accrue et reconversion interdite ! Cela concernerait 15 % à 20 % des chômeurs. On pense naturellement aux secteurs « en tension » comme le BTP, la restauration.2. Deuxième classe

Le deuxième parcours (50 % des effectifs) s’adresse aux chômeurs ayant échoué au parcours 1 ou présentant un risque chômage plus élevé. Ils suivent un parcours dit « classique », avec pour but une « légère adaptation au marché du travail ». L’ANPE leur propose des emplois aidés, des formations de moins de 300 heures. Le suivi est mensuel à partir du quatrième mois de chômage seulement, et doit permettre de « mesurer », puis « réduire » les écarts entre « le positionnement de la personne, les moyens mis en oeuvre et les besoins du marché ».

3. Chômeurs sous-traités

Le troisième parcours (25 % des effectifs) réunit les chômeurs qui « d’entrée de jeu, ont une problématique de projet professionnel ou de positionnement sur le marché ». Ces services sont carrément « co-traités ou sous-traités » par d’autres institutions que l’ANPE.

4. Les abandonnés

Enfin, le parcours 4 (5 % des effectifs), intitulé « renouer avec une activité », s’adresse aux chômeurs en très grande difficulté, avec des dispositifs très encadrés. Il « suppose que l’ANPE élargisse son champ de co-traitance », autrement dit qu’elle externalise cette activité.

Avec ce profilage des chômeurs, l’ANPE met fin officiellement à l’égalité de traitement censé être la marque d’un service public. Les chômeurs du parcours « express », immédiatement employables, subiront une pression accrue pour prendre le premier emploi venu, rabaisser leurs exigences, et sortir des ASSEDIC. Pour les autres, la mensualisation du suivi entraînera une explosion mécanique des radiations pour « non-réponse à convocation » mais aussi pour « refus d’emploi ou de formation », selon le nouveau système de sanctions entré en vigueur cet été. Au final, le gouvernement pourra afficher une baisse des chiffres du chômage, les ASSEDIC dirigés par le MEDEF feront des économies, et les employeurs trouveront une main-d’oeuvre de moins en moins coûteuse.

Pour mater la réticence des conseillers ANPE à pressurer et radier les chômeurs, la direction prévoit une individualisation du travail. « Chaque conseiller est responsable d’un portefeuille de demandeurs d’emploi », précise la note, ce qui permet un « suivi des contributions individuelles », alors que le travail était jusqu’à présent évalué par agence. Cela ouvre la porte à toutes les pressions pour que l’agent se plie aux objectifs : par la carotte (un système de primes) ou le bâton (la menace d’une insuffisance professionnelle pouvant conduire à un licenciement). La note insiste sur cette nouvelle culture du métier de conseiller ANPE, axée sur le « résultat » en fonction des « exigences du marché », et non plus sur le conseil.

Fanny Doumayrou

Destination, France : Y'a bon la Sécu

Les chiffres officiels (mais faux, comme toute statistique Officielle) du Haut Conseil à l'Intégration

Observatoire statistique de l'immigration et de l'intégration


RAPPORT STATISTIQUE 2002-2004 : Ce rapport a été élaboré par le Groupe statistique de l’Observatoire Statistique de

l’Immigration et de l’Intégration, dirigé par Madame Jacqueline Costa-Lascoux, et il a été examiné et discuté par le Conseil scientifique de l’Observatoire,

présidé par Madame Hélène Carrère d’Encausse. Madame Caroline Bray, chargée de mission au HCI, assurait la fonction de rapporteur.


Rapport consultable sur : http://www.liaisons-sociales.com/newsletter/Ossi_stat2002-2004.PDF


NB : Hélène Carrère d'Encausse, éminente historienne, spécialiste de l'Union soviétique et secrétaire perpétuelle de l'Académie française, a expliqué la crise des banlieues françaises à la chaîne de télévision russe NTV dans les termes suivants : «Ces gens, ils viennent directement de leurs villages africains. Or la ville de Paris et les autres villes d'Europe, ce ne sont pas des villages africains. Par exemple, tout le monde s'étonne : pourquoi les enfants africains sont dans la rue et pas à l'école ? Pourquoi leurs parents ne peuvent pas acheter un appartement ? C'est clair, pourquoi : beaucoup de ces Africains, je vous le dis, sont polygames. Dans un appartement, il y a trois ou quatre femmes et 25 enfants. Ils sont tellement bondés que ce ne sont plus des appartements, mais Dieu sait quoi ! On comprend pourquoi ces enfants courent dans les rues.»


La déclaration ci-dessus a-t-elle été influencée par les réalités non dites et cachées par ce rapport… ?

Quelques extraits :



Alors que les mariages ne pèsent que 20 % des acquisitions, Villepin en a fait un de ses principaux arguments de lutte contre l’immigration !!!

Poudre aux yeux (mais qui en doutait !)


65 % de l’immigration est Africaine… Ce qui ne fera qu’amplifier le phénomène des banlieues et celui du logement !!!


L’asile politique en baisse de partout en Europe, sauf dans la patrie des droits de l’homme…