Unis ou Vaincus

Unis ou Vaincus

Identité

Contre la Mondialisation et la société de Consommation forcée qu'elle nous impose, tuant les Hommes et notre Mère à tous, la Terre..Pour la Défense de L'Europe, de son Identité, et de tous ses peuples Originels. Contre l'Europe Sociale Démocrate, complice des Marchands. Pour la création de L'Eurosibérie : une Europe politique, une puissance Continentale. Contre le Capitalisme spéculatif qui préfère les profits faciles à la Production qui donne du Travail. Pour un retour de la prépondérance du Pouvoir Politique, sur la Fonction de Production. Contre la Démocratie représentative, sa logique de partis (qui divise au lieu d'unir) et ses Alliés objectifs dans l'asservissement des Hommes : les Médias, les Marchands et les Mafias. Pour la Démocratie participative et Populaire, celle qui rend les Hommes maitres de leurs choix et donc de leurs déstins. Contre la Corruption financière et mentale qui utilise toutes les faiblesses des hommes pour les asservir et les pousser à consommer. Pour le retour des valeurs (vertus): celles qui contraignent chacun individuellement, mais qui rendent les Hommes Dignes et Libres. Contre l'Immigration de peuplement Extra Européenne, et le Métissage forcé. Pour une politique Nataliste en faveur des Européens de souche. Contre la vision Manichéenne (Bien/Mal) véhiculée par la Mondialisation et ses alliés de fait (Capitalisme / Communisme et les religions Monothéistes). Pour une Conscience Identitaire et la Liberté d'Expression : dans le respect des autres, mais en sachant quelles sont nos Forces, d'ou elles nous viennent (la Mémoire de nos Cultures Ancéstrales) et en ayant bien conscience qu'il faut les défendre pour les préserver.

vendredi 19 janvier 2007

OMC: Les normes internationales du travail doivent être prioritaires

mardi 13 décembre 2005

OMC
Les normes internationales du travail doivent être prioritaires
Alors que débute la 6ème Conférence Ministérielle de l’OMC à Hong Kong, la CGT-Force Ouvrière, souligne que la logique de l’OMC demeure celle de la négociation en fonction des intérêts des entreprises et reste pour l’essentiel aveugle aux questions déterminantes pour les travailleurs: celles du respect des normes internationales du travail, élaborées par l’OIT.

Parallèlement, l’objectif du développement, affirmé dans le cadre du cycle de Doha, semble avoir surtout servi jusqu’alors de paravent à une négociation visant à l’accroissement des secteurs ouverts à la libéralisation des échanges (produits industriels et services) sans prise en considération a priori de leur impact sur l’emploi et les conditions de vie des populations.

Cela conduit au danger que les intérêts des entreprises, notamment des multinationales, prévalent sur le droit et la capacité au niveau des Etats en matière de politique industrielle et de politique budgétaire de service public et de protection sociale.

FO rappelle que le rapport de la Commission Mondiale sur la Dimension sociale de la Mondialisation, édité en février 2004 par l’OIT, pointait que le «processus actuel de mondialisation génère des déséquilibres» du fait que «richesses sont créées mais ne sont d’aucun profit pour trop de pays et trop de personnes».

Pour FO le développement exige que les politiques d’échanges soient fondées sur la solidarité et non pas sur le modèle libéral économique, ce qui demande que l’attention porte sur la répartition des richesses.

Que l’accentuation de la pression, exercée notamment par les organisations syndicales, et l’impossibilité de masquer les conséquences de la libéralisation des échanges rendent plus difficile aujourd’hui que les négociations se mènent dans le secret, conforte la nécessité de renforcer l’action syndicale à ce niveau.

FO, présente sur place - comme elle l’était déjà à Cancun - prend part avec la CISL (Confédération Internationale des Syndicats Libres) au suivi des négociations menées par les gouvernements.

FO soutient ainsi que la primauté dans les échanges commerciaux soit donnée au respect des droits démocratiques et en particulier des normes internationales du travail, incluant le droit en matière de protection sociale, et que toute discussion sur les échanges soit désormais soumise à une évaluation d’impact préalable sur l’emploi et les conditions de travail dans les pays concernés.

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